Tu laisses être peu à peu
ce qui est , cette splendeur !
l'ombre signale cela.
Tu ne ty attardes pas
Ces voix en toi
qui te ramènent toujours
à une réalité morte et vide,
ces voix sont celle de l'effroi !
Toi, tu balbuties encore,
tu apprends ta langue,
tu découvres ses couleurs,
tu t'inities à un langage inutile
pour mieux mourir à ce qui mourra
de toute façon !
Et tu offres cela
comme on oublie qui on est,
Ceci est un songe où tout se condense.
Tu es chez toi et cela ne finira jamais !
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