je passais à côté de toi,
caressais ton écorce.
Par jour de grand vent,
tu me faisais parfois
cadeau d'une pomme
au parfum subtil.
Par forte averse
tes branches touchaient
presque le sol,
et j'avais de la joie
à les caresser.
Et puis un jour,
les portes du parc
où tu demeures
se sont refermées.
Sécurité. Sécurité.
Une branche tombée
de tes hauteurs
a causé de l'effroi.
Des hommes sont montés
jusqu'à ta cime
pour t'élaguer.
On t'a entouré
d'une barrière d'osier.
On ne devait
plus t'approcher.
Et maintenant
derrière des
barreaux de fer
je t'aperçois,
mon grand ami
le vieux cèdre.
Plus jamais je
ne respirerai
ton étrange et
forte présence.
Et c'est de loin
que je te fais
un signe ému,
toi qui bientôt
restera seul
avec tes larmes
pures de résine.
les portes du parc
où tu demeures
se sont refermées.
Sécurité. Sécurité.
Une branche tombée
de tes hauteurs
a causé de l'effroi.
Des hommes sont montés
jusqu'à ta cime
pour t'élaguer.
On t'a entouré
d'une barrière d'osier.
On ne devait
plus t'approcher.
Et maintenant
derrière des
barreaux de fer
je t'aperçois,
mon grand ami
le vieux cèdre.
Plus jamais je
ne respirerai
ton étrange et
forte présence.
Et c'est de loin
que je te fais
un signe ému,
toi qui bientôt
restera seul
avec tes larmes
pures de résine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire